Mukashi Kaizoku
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Mer 6 Fév - 16:17
Bartholomew M. Corso




Carte d'identité

Dénomination ; Bartholomew M. Corso
Surnom ; Corso le Noble
Âge du perso ; 30 ans
Faction ; Marine
Camp ; Extrémiste total, mais il ne le montre pas
Objectif(s) ; Un objectif ? Vraiment ? Hmm.. Obtenir une renommée mondiale ?


Mes requêtes

Grade ; Le plus haut possible Wink
FDD | Capacité ; Rokushiki
Équipement ; Une boîte à musique, émettant une noble mélodie pianistique et des gants renforcés en granit marin
Un mental d'acier !
« Corso ? Un brave gars, pour sûr ! Il n’est pas du genre à se laisser marcher sur les pieds, ça non ! J’étais son maître, quand il n’était encore qu’un gamin. J’ai toujours cru en ce petit, dès son plus jeune âge. Il était l’un des plus performants et rien ne l’abattait. Il savait se relever, quelle que soit la situation, un vrai combattant ! A vrai dire, tout le village croit en lui, depuis le début. D’ailleurs, ça va faire un moment que je n’ai pas eu de ses nouvelles, est-il seulement encore en vie ? Agagagagag ! C’est vrai qu’il a toujours été du genre à se foutre de tous les dangers. C’est un fonceur, qui n’a peur de rien ! Evidemment, vu son style si particulier, je comprends qu’il puisse avoir un certain complexe de supériorité. Et je l’encourage sur cette voie ! Un combattant de Goat City doit toujours faire preuve de sang-froid et doit croire en ses propres capacités ! C’est comme ça que nous pensons ! »

Interview de Dod Johns, ancien maître de combat de Bartholomew M. Corso. – Rapport sur Bartholomew M. Corso de Jackson L. Jr.

« Ouuuh ce grand gaillard, il m’en a fait voir des vertes et des pas mures, il fut un temps ! Etant petit, il a toujours refusé de passer les visites médicales obligatoires, à chaque début de saison de formation. Les piqûres, il les fuyait comme la peste ! Aujourd’hui, j’en ris, mais je peux vous assurer qu’à cette époque, il me mettait dans une rage folle ! Seulement, en quelques années, il a totalement changé. La dernière fois que je l’ai vu, je ne l’ai même pas reconnu. Et pourtant, cela remonte à seulement une dizaine d’année. Ça fait un moment qu’il ne nous a pas rendu visite. La dernière chose qu’il nous a dite avant de partir, à moi et à mon mari, c’est qu’il reviendrait un jour, lorsque ses objectifs seraient atteints ! Depuis le temps que nous l’attendons, il a du se fixer des objectifs quasi-irréalisable. Mais avec sa volonté inébranlable, je suis certaine qu’il y parviendra, un jour ou l’autre ! »

Interview de Sally Corwood, médecin attitré des combattants de Goat City. – Rapport sur Bartholomew M. Corso de Jackson L. Jr.

«Cet homme… Il m’a fait changer, à une époque. Quand nous n’étions encore que des gosses, et que nous étudions l’art du combat, avec notre maître d’arme, nous étions comme des rivaux. A chaque séance d’entraînement, nous cherchions tous deux à montrer notre talent et notre esprit combatif. Les autres riaient de nos sottises, mais au fond, ils étaient admiratifs car malgré nos différends, nous étions capables de coopérer, quand il le fallait, pour déjouer les attaques ennemies sur le front. Seulement, je crois que j’étais le plus borné ! Rien ne m’intéressait à part le progrès et le dépassement de moi-même afin de triompher sur lui. C’était comme une obsession. J’en étais devenu presque solitaire et surtout, je reniais tous ceux qui m’entouraient, qui partageaient ma vie. En fait, j’étais devenu un enfant turbulent, qui n’avait qu’une envie : devenir le meilleur, quel qu’en soit le prix à payer. Aujourd’hui, je me dis que c’est grâce à lui, au fond, si j’ai pu changer. Je suis fier d’avoir fait sa rencontre, c’est un chouette type. Ou du moins, jusqu’à ce qu’il quitte le village. Je ne sais absolument pas ce qu’il est devenu, depuis le temps. Mais tout ce que j’espère, c’est qu’il n’a pas oublié ses idéaux et ses principes ! C’est tout ce que je peux vous dire ! »

Interview d’Edward Jackson, ancien ennemi et camarade de Bartholomew M. Corso. – Rapport sur Bartholomew M. Corso de Jackson L. Jr.

«Ce type, je n’ai jamais compris comment il procédait. Un vrai attire-emmerdes, je peux vous le dire ! Il faisait souvent appel à moi pour faire du trafic d’armes, en me promettant des choses fabuleuses, dont je rêvais. Mais il réussissait, à tous les coups, à trouver une raison qui, malheureusement, semblait valable, pour ne pas me payer. Un vrai arnaqueur, pure souche ! Je ne compte plus le nombre de fois où je lui ai rendu service, gratuitement, au final. Il a toujours réussi à me renvoyer les mains vides auprès de mon patron, pour que je me fasse taper sur les doigts ! Je n’ai jamais réussi à le faire payer. Et en ce qui concerne le poker, il parvenait toujours à finir en premier. C’était comme si plusieurs de ses cartes disparaissaient, sans que nous ne puissions-nous en rendre compte. J’ai même engagé quelqu’un pour le surveiller, un jour ! Mais il n’a jamais rien vu de suspect ! Je vous le dis, cet homme, évitez le tant que vous le pouvez. Il n’est vraiment pas du genre à être sympathique. J’ai entendu dire, par de nombreuses sources aux quatre coins du monde, qu’il était passé du côté du Gouvernement et qu’il faisait régner un certain « ordre »…»

Interview de Daniels Jack, ex-trafiquant d’armes et joueur de Poker à ses heures perdues. – Rapport sur Bartholomew M. Corso de Jackson L. Jr.

« Corso, Corso... Ce nom me dit quelque chose. Oh, oui, je me souviens maintenant ! J’ai entendu parler de lui dans la gazette de GrandLine. A ce qui parait, ce type a mal tourné. Je ne le connais pas personnellement, loin de là. A vrai dire, j’ai été embauché ici il y a peu. Il vient souvent ici vous dîtes ? Eh bien vous m’en apprenez beaucoup ! Jamais vu par là. En tout cas, tout ce que je sais et que je peux vous dévoiler, c’est qu’il marchande beaucoup… On raconte que son équipage est constitué soit de géants, soit d’esclaves de toute race. Ce n’est pas quelqu’un de fréquentable si vous voulez mon avis. D’ailleurs, pourquoi me parlez-vous de lui ? Ah, c’est pour une interview ?! Super ! »

Interview de Sam la pêche, serveur dans un bar de GrandLine. – Rapport sur Bartholomew M. Corso de Jackson L. Jr.


Biographie

Prologue :


C’était une longue soirée hivernale, le jour du réveillon de Noël. Les flocons de neige, si froids et si brillants à la fois, tombaient sur le sol et venait se coller sur les fenêtres des maisons de l’île. Ces flocons finissaient par se glacer, formant une paroi radieuse sur les carreaux en verre des fenêtres. Ce soir-là, tous les habitants restaient chez eux, les rues étaient aussi vides que dans le désert,une vraie ville « fantôme ». Remarque, cela n’était pas très étonnant, sachant qu’il faisait très froid et puis surtout, c’était le moment du repas devant un bon feu de cheminée. Une famille en particulier,sortait du lot. Cette famille comportait seulement un homme, une femme et un bambin de 7 mois et 10 jours exactement. Celui-ci étant né le 14 mai 1472. Cette famille n’était pas très banale car l’homme était un bandit, plus précisément un voleur ; la mère était une femme au foyer, au passé moins convenable ; et enfin l’enfant, avait été adopté. Les parents adoptifs de ce jeune bambin n’avaient aucune information sur ses parents biologiques, qui l’avaient abandonné dès son plus jeune âge. Mais, plusieurs années plus tard, ces trois personnes voient changer leur vie, littéralement.


Archives n°1 :
« Une pomme par jour éloigne le médecin… pourvu que l’on vise bien. » Winston Churchill

Treize années passèrent depuis l’hiver très spécial du 24 décembre 1472. Le bambin était maintenant devenu un jeune homme et son apparence avait pas mal changée. Sa barbe avait bien poussée et lui arrivait juste un peu plus bas du menton, son visage s’était amincit. C’était un jeune homme plutôt intrépide, qui n’hésitait pas à faire des âneries pour se rendre intéressant. Tout comme son père adoptif, il passait son temps à voler dans les ruelles commerçantes, le plus discrètement possible. C’était une sorte de don qu’il avait obtenu de son père adoptif à force de le côtoyer, mais il aimait ça. Par contre ,s’il y avait bien une chose que celui-ci détestait, c’était les médecins. La raison était inconnue de tout le monde mais ce sentiment était bien réel. Pourtant, ceux-ci ne lui avaient jamais rien fait d’horrible et ne lui avaient jamais fait de mal. Pour lui, les médecins étaient des personnes maléfiques, des personnes avares et qui ne correspondaient pas avec le mot « guérison ». C’est pour cela que le jeune homme, à chaque visite, se débrouillait pour ne rien avoir à faire avec eux. Effectivement, il avait une idée originale, celle de catapulter une pomme bien dure dans le crâne du médecin, à l’aide d’un lance pierre. Il fallait tout de même avouer que cette idée était plutôt enfantine mais surtout ridicule… Malgré tout, le médecin ne rechignait jamais à sa tâche, celle d’accueillir toute personne à soigner, ce qu’il faisait avec le jeune Corso. De toute façon,depuis le début, le Docteur Nakamura avait décelé une personnalité particulièrement sombre. Personne ne savait à quoi cela était-il dû mais pour le moment, cette personnalité ne posait pas tellement de problèmes dans la vie de tous les jours, outre le fait que, suivant l’exemple de son père, le jeune Corso volait les commerçants sans aucune honte. Enfin revenons au fait… En réalité, si le sentiment de «méchanceté » que portait Corso à l’égard des médecins était si prononcé, c’était tout simplement à cause d’une histoire remontant à sa petite enfance, aux alentours de 5,6 ans. Le jeune garçon ne pouvait s’endormir sans avoir écouté les histoires que son père lui racontait. Le début de chacune d’elle commençait toujours par « Il était une fois,un médecin… » et son contenu empirait au fil des jours. Le père narrait la vie d’un médecin orphelin, soi-disant abandonné par ses parents à son plus jeune âge. Celui-ci vivait donc seul et apprenait de lui-même les différents droits et devoirs de la vie. Tout commençait bien donc. Mais au fur et à mesure, la vie de ce médecin se perturbait, il lui arrivait de nouvelles choses toutes plus ou moins similaires. Aussi, nous apprenions plus sur son état d’orphelin. En effet, à l’origine ,nous croyions que ses parents l’avaient tout simplement abandonné .Pourtant, ce n’était pas la vraie cause. Ses parents ne l’avaient pas abandonné à proprement parlé. En fait, leur vie s’acheva à ce moment. Ils furent assassinés par quelqu’un, un homme ou une femme, ça rien ne pouvait le démontrer. Mais cela n’était que le début de ses malheurs…

Ce qui suivi fut encore pire… Une horreur… Un massacre. Apprenant cette nouvelle, le médecin eut comme un déclic, une altération de la personnalité, déjà bien évoluée malgré le fait qu’elle venait tout juste de changer un tantinet. Et, le lendemain de cette journée, de nouveaux patients entrèrent les uns après les autres dans son cabinet médical, venus pour se faire traiter. Mais bizarrement, à chaque fin de séance, personne ne sortait. En gros, les patients rentraient mais ne ressortaient pas. Plutôt étrange comme situation… Et, comme l’o npourrait s’en douter, si les personnes ne ressortaient pas de cette pièce, c’était tout simplement qu’ils étaient décédés. Tout ça à cause de l’altération de personnalité du médecin. Il s’était mis dans la tête qu’il tuerait chacun de ses patients jusqu’à ce qu’il puisse tuer le meurtrier de ses parents.


Archives N°2
« Pour ne point rougir devant sa victime, l’homme qui a commencé par la blesser, la tue. » Honoré de Balzac

Le temps s’écoulait petit à petit, comme d’habitude, de secondes en secondes, minutes en minutes, heures en heures… Rien n’avait vraiment changé depuis trois ans, sa personnalité était toujours la même mais il devenait peut être un peu plus sympathique tout de même. En plus, à 13 ans, il était devenu plus autonome. D’ailleurs, un jour, il se rendit au marché de la grand place. Il se faufilait entre les villageois très nombreux, dans le but de peut être trouver quelque chose d’intéressant pour ses parents. Il regardait quasiment tous les établis des commerçants, certains un peu plus en détails. Quand soudain, en passant devant l’un des vendeurs en abondance, Corso put apercevoir quelque chose supposée être un fruit d’une rareté inestimable. Ce fruit avait vraiment l’air rare car il n’en avait jamais vu un de cette apparence. Ce soi-disant fruit ressemblait en fait à une spirale grisâtre, parsemée de quelques tâches rouges et noires se confondant entre elles pour certaines. Pour le jeune homme,c’était adjugé vendu ! Ou du moins adjugé volé… Effectivement, comme à son habitude, il essaya de se faire le plus petit possible en se mettant accroupi devant la table du commerçant, et attrapa d’un coup le fruit si rare, avant de s’enfuir du mieux qu’il pouvait. Sa direction ? La maison familiale. C’est alors en hâte qu’il se rendit chez lui, prêt à offrir le cadeau qu’il avait acheté. Soudain, lorsqu’il ouvrit la porte, une image d’horreur parvint jusqu’à ses yeux. Les cadavres de son père et de sa mère reposaient sur le sol ensanglanté de la salle à manger.

C’était un vrai massacre. Une seule et unique question trottait dans la tête du jeune homme apeuré : « Qui avait bien pu faire cela ? »

C’est à ce moment précis que Corso repensa aux histoires que lui racontait son père à propos du médecin. Car, en réfléchissant bien, il lui était arrivé la même chose. Ils avaient donc tout deux un point commun et cela n’allait pas se terminer comme ça. Corso était maintenant sûr d’une chose, il allait devenir comme le médecin de l’histoire. Il n’hésiterait pas à tuer pour enfin un jour mettre un terme à la vie du ou des assassin(s) de ses parents. Pour lui, c’était inacceptable de ne rien faire pour ça. Par contre, il n’achèverai pas forcément tous ses patients. Ce serait plutôt ses ennemis car, souhaitant devenir un chasseur de primes par la suite, Corso avait donc plus précisément pour ennemi les pirates.


Archives N°3
« Il faut plus d’imagination, de jugement, et d’intelligence pour devenir un grand médecin que pour devenir un grand chimiste. » Alexis Carrel

Après ce triste évènement, le jeune Corso décida d’étudier la médecine pour devenir comme l’homme de l’histoire. Et c’est ce qu’il fit. Lorsqu’il eut atteint l’âge de 15 ans, il commença à voyager à travers les quatre grandes mers, à la recherche de médecins compétents, pour apprendre les choses qui lui manquaient. Son rêve était maintenant de devenir le plus grand médecin du monde. Bien sûr, il savait très bien que de grands médecins vivaient sur GrandLine mais pour l’instant, il fallait faire avec. Au niveau de l’apparence, il avait un peu changé : sa "barbe" naturelle de chèvre avait encore poussée et arrivait au tier de son cou ; il portait des lunettes de soleil et s’habillait comme un médecin ambulant, chemise blanche,cravate, gants et longue veste noire. Sous cette apparence, il paraissait déjà plus sérieux, et c’est d’ailleurs ce qu’il était. Pour l’instant, en ces quatre années, Corso avait appris trois étapes de l’acte médical, à savoir l’étiologie, la pathogénie et la physiopathologie. Il lui en restait donc trois autres à apprendre. Et pour cela, il devait voyager pour trouver un médecin très compétent sur chacune des mers. Il s’était déjà renseigné sur les endroits où vivaient les différents médecins donc il n’avait plus qu’à s’y rendre tranquillement à bord d‘un petit bateau conduit par un vieil homme. Première destination, Loguetown à East Blue.

Au bout de plusieurs heures de navigation, le petit bateau arriva enfin sur les quais de LogueTown. Corso descendit et se rendit à l’adresse indiquée sur le haut de sa carte. C’était dans une petite ruelle où le passage n’était pas très sollicité. Remarque, ce n’était pas plus mal car pour étudier, il faut être au calme. Il entra donc dans la maisonnette où il était écrit : « Dr.Hiro » et lui demanda alors de lui enseigner tout son savoir. Cela pris bien évidemment quelques heures pour tout enseigner, surtout que Corso était plutôt intelligent de nature et connaissait déjà pas mal de choses importantes dans le domaine de la médecine, ce qui aidait. Comme tout bon médecin, le Docteur Hiro lui avait enseigné le Diagnostic, la Thérapeutique et la Sémiologie. Mais tout ceci était « incomplet » selon Corso, qui pensait qu’il était préférable de rencontrer les deux derniers médecins afin de compléter ces étapes. Donc, après cette journée d’apprentissage, le jeune homme reprit le bateau pour naviguer de nuit. De cette façon, il pouvait se reposer pendant que le vieil homme l’emmenait sur l’île du Commencement, à West Blue.

Après toute une nuit de navigation, le bateau arriva et se déposa sur le sable de la plage de l’île du Commencement. À première vue, il y avait beaucoup de monde, une île très peuplée. Le petit centre de médecine se trouvait un peu plus loin au centre de l’île et pour s’y rendre plus rapidement, il fallait utiliser une calèche dont le prix du déplacement ne dépassait pas les 30 Berrys. Corso s’empressa alors de monter dans l’une d’entre elle, en payant, pour se rendre à l’endroit désiré. Effectivement, le voyage ne dura pas très longtemps, et ce fut tant mieux ! Une fois arrivé, le jeune homme rejoignit le Docteur et passa la journée à apprendre. Finalement, mêmes si ces apprentissages lui semblaient particulièrement répétitifs, il en ressortait plus grand, rempli de connaissances...


La suite de cette histoire a été effacée avec le temps. Les pages du livre sont devenues illisibles, laissant l’imagination se mêler au jugement de ses lecteurs.


Conclusion :

À 17 ans, Corso était presque devenu un homme, mais surtout un grand médecin à part entière, peut être même le meilleur médecin des quatre mers... On pouvait dire que son futur serait le commencement d’une nouvelle vie, pour réécrire les pages effacées de ce livre.



Test RP



L'joueur
Prénom/Surnom ; Florian
Âge ; 18 ans
Aime ; Peu de choses
N'aime pas ; Beaucoup de choses
Un commentaire ; Aucun Cool
Bartholomew M. Corso
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Bartholomew M. Corso
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Bartholomew M. Corso
SERGENT-CHEF
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Bartholomew M. Corso
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Mer 6 Fév - 22:18
Bonsoir Bonsoir ♪

Bienvenue parmi nous déjà ! Connaissant déjà ton niveau (et oui!) je viens te valider. Très bonne lecture, et c'est assez plaisant. Quelques fautes qui sont rectifiables, mais rien de bien grave.
Une relecture ne serait peut-être pas de refus ? Very Happy Sinon ça reste très simple, bien que ses rêves de médecins soient assez peu courants. On sent que tu y prends cœur (j'étais même un peu déçu de ne pas en avoir eu plus pour la fin). Ce qui me dérange par contre, c'est que tu laisse 13 ans de vide, sans qu'on est concrètement de renseignements. Je pense que tu l'expliqueras plus en détail ensuite, via tes Rp. Wink Je te valide donc niveau 19, car je pense que ça manque quand même de "complications" hormis le meurtre de ces parents et de matière en général. Mais l'écrit reste très bon bien qu'un peu pâle. Avec un grade de Sergent-Chef, 40 W&R ainsi que 15 Keiken (Les dix offerts déjà inclus). Je te re-dirige ici pour ta FT ! =)

Bonne chance pour la suite ♪
Pour tout problème, MP ^^.

Marvel Cinderreich
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Marvel Cinderreich
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Localisation : ▬ Avec toi ♪
Emploi/loisirs : ▬ Testeuse de lit ♥
Humeur : ▬ Njut* o/

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