Gregorio Giovani D'il Toscana [fini]

" Tien vous revoilà quand j'ai fini de jouer la dernière fois vous aviez disparus que c'est-il passé ? Ah une affaire urgente, je comprends voulez-vous je vous refasse une démonstration ? Non bon tan pis, vous voulez que je vous parle de mon enfance ce qui a fait de moi l'homme que je suis et bien allons y.

Je suis né dans une petite île de North Blue pas très loin de l'île de Micqueot, une jolie petite île où il faisant bon vivre, les cours en traîneau, la chasse au caribou et surtout l'un des meilleurs vins chaud tout droit venu de l'île voisine. Oh bien sûr il faisait froid, normale pour une île hivernale me direz vous, mais malgré ça j'aime beaucoup ma petite île natale. La famille D'il Toscana est considéré comme l'une des familles les plus riches et les plus nobles de l'île, nous sommes aujourd'hui encore très bien placé d'après les dernières nouvelles de mon frère. Oui en effet je ne suis pas enfant unique, je possède de nombreux frères et sœurs, en fait je suis le troisième enfant. C'est pour cela que je suis ici, traditionnellement le premier fils hérite de l'affaire familiale, le second trouve une place confortable dans l'administration ou dans le gouvernement et le troisième doit rejoindre la marine. Je vous avoue que mon départ du cocon familial ne c'est pas fait sans mal.

Toute mon enfance je l'ai passer auprès de ma mère qui m'a transmis ce goût immodéré pour la musique, elle jouait divinement bien du piano, je voyait assez peu mon père qui est un homme sévère qui passe sont temps a travailler pour le bien de sa famille. C'est d’ailleurs grâce a lui que je possède cette petite flûte en argent. C'est le seul cadeaux qu'il ne m'ait jamais fais, il préférait de loin mes deux frère aînés qui étaient voués a de grand projet économique tandis que moi j’étais condamné au service militaire. Même si je ne le hait pas, je lui en veut toujours un peu d'avoirs gâcher mon si grand talent de musicien.

C'est a mes dix ans que mon oncle Amiralio, vous noterez au passage l'humour de mes grands-parents paternel, vint me chercher pour m’amener dans un camps d’entraînement pour jeunes marine. Ils ont passer la moitié de la journée a me chercher, je m’étais caché dans l'une des nombreuse armoire du manoir. Et malheureusement malgré ma futile résistance je me suis retrouver embarqué de force sur le bateau qui devait me conduire au camps d’entraînement.Je me souviens très bien la première fois que je l'ai vu, un grand bâtiment austère, impersonnelle entièrement peint en blanc, le symbole de la marine trônant au-dessus de chaque portes. J'étais jeune et effrayé, mon oncle m'a conduit dans un grand dortoirs où j'ai rencontré pour la première fois mes camarades, la plupart étaient comme moi, impressionnés, ils ne savaient pas trop où ils étaient. Ils étaient pour le plus grand nombre des enfants de marine forcés de suivre le même chemin que leur vieux paternel sans avenir. Petit a petit la peur qui m'avait envahi à mon arriver se dissipa. Maintenant que j'y repense ce furent probablement les meilleures années de ma vie.

Je peux dire qu'avec certain de mes camarades nous avons mené la vie dure a nos enseignants, nous avons fait les quatre cents coups. Je me souviens encore de la foi ou nos avions volé le katana de ce vieux Gilbert qui était, ironiquement, notre professeur de combat a main nues qu'est ce qu'on a bien rigolé ce jour-là. J'ai passé six longues années à m'entraîner dans cette école j'y ai appris sans grand enthousiasme l'art d'être un bon soldat, j'ai également continué après les cours à travailler ma belle musique. Au bout de ses six ans nous avons été sélectionné suivant nos résultats et repartie à travers les différents corps de la marine, les meilleurs partaient pour une école de hauts gradés, ce qui se démarquait du lot sans être pour autant dans les meilleurs de la promotion partaient pour le Cipher Pol et le reste partaient en tan que matelot sur les navires de la marine. Étant un élève des plus moyen j'ai bien entendu suivi la troisième option, jusqu'à ce jour je ne l'ai jamais regretté. J'ai servi sur plusieurs navire dont celui du capitaine Garp, un brave homme que je respecte profondément, sur ces différents navires j'ai appris à profiter des simple plaisirs de la vie, la boisson, les femmes, j'ai goûté à des plaisirs nouveaux et j'ai surtout pu comprendre la valeur et les avantages certains qu'offre le statut de marine. Il est vrai qu'en contre-partie je n'ose même pas penser aux kilomètres de parquets que j'ai frotté dans ma courte vie ahahah !

Je vais vous raconter une histoire dont je ne suis pas très fier, je devais avoir à peu près dix-neuf ans. Un jour où j'avais justement un peu trop profité des simples plaisirs de la vie, alors que j'étais en permission a terre, j'ai croisé, dans un bar, un homme qui cherchait à vendre un étrange fruit qu'il avait trouvé en mer. Je l'ai persuadé de me le montrer, il s'agissait bel et bien d'un fruit du démon. J'avais déjà consulté l'encyclopédie des millions de fois rêvant de trouver Onga Onga no mi, mes sens abusé par l’alcool, j'ai cru le reconnaître et bien sûr j'ai tout de suite voulut m'en emparer. L'homme en demandait une somme astronomique, je me suis donc arrangé pour qu'il disparaisse au détour d'une ruelle. J'ai pris le fruit et bien entendu je l'ai tout de suite avalé, vous n'avez pas idée du goût immonde que peuvent avoir ces petites merveilles. Bien évidemment j'ai fait accuser un petit équipage de pirate qui traînait dans la ville pour le vole et le passage a tabac, le marchand était de toute façon trop imbibé d'alcools pour se rappeler quoi que ce soit, tout le monde a crue à mon histoire et cela aurait bien pu se finir. Mais voilà je me suis trompé quelques jours plus tard, seul dans ma chambre j'ai voulu essayer mes nouveaux pouvoirs, mais au lieu de transformer une partie de mon corps en instrument de musique, j'ai fait apparaître une sorte d'étrange petit fantôme qui c'est mis à danser autour de moi. Effrayé je me suis précipité hors de ma chambre et j'ai parcouru une bonne partie de la base en hurlant mon petit fantôme gigotant derrière moi et je suis passé devant le caporal qui avait en charge cette affaire et qui de file en aiguille remontât jusqu'à moi. On m'a mis au fer, puis on m'a jeté en prison où j'y suis resté cinq ans de ma vie à apprendre à me servir de mon pouvoir et à regretter mes actions passées du moins officiellement.

Il y a un peu moins d'un mois j'ai étais libéré sous bonne conduite, car avec la nouvelle vague de piraterie qui secoue notre monde la marine a besoin de tous les bras disponibles. Je suis de nouveau libre et je compte bien en profiter, maintenant vous m'excuserai, mais vous en savez un peu trop sur moi, je suis profondément désolé mais je suis sensé garder une bonne image de moi auprès du publique. Adieu. "

PAN

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