Les méfaits de la science I [SOLO & FLASHBACK]

Le jeune homme était assis à son bureau dans sa triste petite cellule de prison, tout y était grisâtre un peu comme dans son ancienne école militaire, mais avec de gros barreaux en fer et des menottes en granite marin en plus. La tête posée sur sur ses mains il réfléchissait a l'étrange rencontre qu'il avait fait plutôt ce jour-là. Ses méninge tournais a plein régime étudiant l'étrange idée qui lui avait traversée l'esprit. Et oui en prison on n'a pas grand-chose à faire alors on pense et notre ami ici présent semblait avoir trouvé un épineux problème sur lequel réfléchir, il marmonnait, faisait les cent pas, ce rasseyant, soupirait et ce depuis qu'il était retourné dans sa cellule c'est-à-dire depuis au moins deux bonnes heures.

Il y a quelques heures de cela le musicien fut comme chaque jour rudement convier à sortir faire sa petite promenade du jour avec ses sympathiques camarades d'infortune. Et comme d'habitude c'était le bordel et ils s'étaient contentés de marcher en rond. Il avait alors eu l'occasion de croiser l'étrange nouveau venu qui répondait au nom de Bill Jack Jackson. Il était d'une carrure imposante, une musculature à faire pâlir un catcher professionnel, jusque la rien de vraiment anormale, mais là où sa devenait assez surprenant c'est qu'il était bleu ! Encore que c'était la le détail le moins surprenant du personnage, sa mâchoire inférieure était largement plus avancée par rapport à l'autre, de sa bouche apparaissait une dentition à rendre jaloux un monstre marin et une sorte de crête ressemblant à une nageoire trônait sur sa tête. On pouvait également voir ce qui semblait être des branchies à la base de son cou. Après s'être renseigné sur cet intrigant nouveau venu, il apprit qu'il s'agissait d'un magnifique spécimen de l'espèce des hommes-poissons des créatures mi-homme mi-poisson qui vivaient dans une île immergé sous Marijoa. Après leur marche quotidienne les détenu étaient renvoyés dans leur cellule où leur était servi leur immonde repas. Ce jour-là on leur avait servi du poisson bouillie, l'un des repas les plus exquis de la prison pour vous dire le niveau gastronomique de celle-ci. C'est en mangeant son poisson que notre homme eut l'illumination.

Une étrange théorie avais traversé son cerveau, le poisson était comestible, l'homme non, mais les hommes-poissons étaient à moitié poisson donc il serait possible d'en manger, néanmoins ils étaient aussi des hommes et le cannibalisme était punissable à la fois par la loi et la morale, même lui reprouvait cette pratique. Vu qu'il était a moitié poisson il était donc a moitié comestible, mais un mystère résidait quelle parties de ces créatures étaient comestibles ?

Quelques jours plus tard l'homme c'était renseigné le plus possible sur ces poiscailles. Il en existait donc deux races bien distincte les sirènes et les hommes-poissons. Les sirènes, ou tritons pour les spécimens masculins est composés d'une partie supérieure humaine c'est-à-dire le tronc, la tête et les bras et d'une partie inférieure animale, a la place de leurs jambes, elles ont une queue de poisson bien qu'après un certain âge celles-ci peuvent les diviser en deux parties dans une parodie de jambes humaines. La taille et la forme de la queue d'une sirène dépend de sa race, il existe autant de races de sirènes que de races de poissons. Ici grâce à la logique il nous est facile de savoir quelle partie du corps est comestible chez les sirènes, car la différence entre le poisson et l'homme est clairement définit.

Chez les hommes-poissons par contre la différence entre l'homme et le poisson est très tenu, en effet ils ont une apparence humanoïde, une tête, un tronc, des bras et des jambes. Néanmoins, suivant leur race, leur structure physique est modifié, par exemple les homme-poulpe possède six bras au lieu de deux. La couleur de leur peau varie aussi selon leur race ainsi que d'autres attributs comme les nageoires ou la mâchoire. Ils ont cependant tous une caractéristique commune, des branchies placer au niveau du cou. Cette partie ainsi que les nageoires sont probablement comestibles, car hérité directement des poissons. D'autres organes le sont probablement mais, le jeune homme n'avait pas vraiment de quoi étudier la chose, il aurait pu s'occuper du prisonnier mais, s'il faisait ça sa probable remise de peine serait annulée et il ne sortirait pas de ce trou a rat. Il nota consciencieusement le peu d'information qu'il avait glaner sur la nature comestible des hommes-poissons sur un petit carnet qu'il rangea dans ses maigres possession en se promettant qu'un jour ou l'autre il ferait part de sa découverte fabuleuse au monde scientifique.

« Un jour, peut être ... »

Dit il à haute voix avant de s'asseoir devant son orgue et de casser les oreilles de la plupart des prisonniers. La pire des punitions de la prison était de déplacer les fauteur de troubles non loin de la cellule de Gregorio, endroit où même les gardiens refusaient de se rendre, car on ne sait jamais si l'envie de chanter lui prenait.